Karine, tome 1, disponible sur tous les supports

Que le chemin a été long ! Tout a commencé avec cette envie de créer un récit plus brutal et incisif que ce que j’avais l’habitude de lire. D’y mettre du sexe plus explicite, cru et beaucoup moins romantique que dans les romans érotiques qui m’avaient toujours paru un peu mièvres.

Il était une fois….

À l’été 2015, après une énième lecture décevante, je me dis que si quelqu’un avait réussi à faire publier un truc tellement minable et creux — non, non, je ne donnerai pas le titre de ce bouquin déclencheur —, j’avais moi aussi toutes mes chances !

La description de l’auteure qui m’a fait prendre la plume. « best-sellers internationaux »… eh ben !

Je pars donc, bille en tête, avec des idées, des ingrédients que j’assemble… Je travaille dans le train, à la maison, en promenade, je réfléchis à mon plan, à mes chapitres… surtout mettre du suspense, des cliffhangers, et raconter quelque chose qui vous choppe aux tripes.

Ouéééé, des cliffhangeeeeeers putaiiiin ! *avec la voix du Commandant Sylvestre*

J’écris le tout en un temps record — un peu moins de trois mois — et je suis tout fier. Mais vient alors le moment de me confronter à l’avis du public. Et tant qu’à faire, autant faire le saut dans le vide, comme mon pote Stallone, ci-dessus… si vraiment je veux que mon livre soit publié, je dois le soumettre en premier à ceux dont je redoute le plus la critique, voire le jugement : mes parents.

Au final, ils adorent, ils me soutiennent à fond, ouf !

Par le plus grand des hasards, je rencontre par la suite Iman Eyitayo, qui gère les Éditions Plumes Solidaires. J’y envoie mon manuscrit, il est accepté, je fais des modifications, ça part en correction, c’est lu, relu, recorrigé encore pendant un bon moment. Puis c’est l’heure de faire la couverture — là aussi ça a été un sacré boulot  —, c’est alors l’heure de la mise en page, puis la toute dernière correction, et enfin, deux ans après avoir imaginé cette belle jeune femme dégustant sa part de tarte au citron meringuée dans un restaurant allemand — début du chapitre 1, pour ceux qui n’ont toujours pas dévoré l’extrait gratuit — et après être passé par toutes les phases positives et négatives : énergie, joie, désemparement, fierté, déprime, ennui, excitation, et tout un tas d’autres sentiments et émotions… nous voici au 26 septembre 2017. Aujourd’hui, mon premier roman est disponible à la vente sur tous les supports, partout — en France métropolitaine, du moins !

Liens

Format numérique (3.99€ jusqu’à aujourd’hui [26/09], puis 6.99€ à partir de demain) :

Format papier (15€) :

  • Amazon
  • Fnac
  • ici-même : 15€ + frais de port
  • Dans les espaces culturels Leclerc
  • En librairie, en communiquant à votre libraire, la référence ISBN du livre, à savoir : 979-10-96622-13-9

Chroniques

Et pour finir de vous convaincre, vous pouvez lire la première chronique ci-dessous, écrite par une personnes que je n’ai ni soudoyée, ni menacée de mort… Une bonne note, acquise de façon très honnête. J’espère que d’autres viendront prochainement :

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