Si c’est le cas, je suis très content ! C’est pour ça que j’écris, c’est pour ça que tout auteur passe un temps infini à étaler des mots sur du papier ou un écran… pour être lu et apprécié. Bon, si vous n’avez pas aimé, c’est dommage, mais dites-vous que ça n’est pas grave. Certains aiment, d’autres non… grâce à vous je ne prendrai pas la grosse tête, donc merci aussi au final !
Et si vous n’avez pas lu Karine, qu’est-ce que vous attendez ?
Hop, un petit tour sur Amazon (par exemple), c’est pas très cher !
J’ai besoin d’aide
Partons du principe que vous avez lu et plus ou moins apprécié ce premier tome de Karine. J’ai désormais besoin de votre aide. Je vous explique…
Nous sommes à l’époque bénie des réseaux sociaux, des phénomènes de mode imprévisibles, des buzz et des petits miracles issus des bouche-à-oreille virtuels devenus si puissants.

Oui, alors non… je ne vise pas le succès de ces roulements à billes sertis dans un morceau de plastique moche. Mais je ne sais pas si vous avez un peu jeté un œil aux publicités sur les bus, les affiches dans les stations de métro ou à la télé entre deux épreuves d’immunité sur TF1, ces temps-ci ? En effet, il n’y a pas la moindre annonce concernant Karine. C’est assez choquant, n’est-ce pas ? Et ça n’est pas la peine de désactiver le bloqueur de pub de votre navigateur web préféré, il n’y a rien non plus sur Internet.
C’est comme ça ! Je travaille avec une sympathique petite maison d’édition, qui a certains avantages que vous pouvez aisément imaginer : taille humaine, dialogue et échanges faciles, mais qui a aussi ses inconvénients : budget restreint et pas beaucoup de publicité — un peu quand même, via quelques blogueurs. J’ai déjà la chance que les Éditions Plumes Solidaires aient pas mal de partenariats de diffusion, qui permettent à mon roman d’être disponible sur énormément de plateformes en lignes, chez tous les libraires et vraiment, à peu près où vous voulez ! Donc je ne me plains pas.
En quête de visibilité
Mais une disponibilité partout n’est encore pas suffisante. Il me faut aussi de la visibilité, alors que je n’ai pas de budget marketing ! Et ce n’est pas grave, car pour reboucler sur le paragraphe précédent, nous vivons une ère où la publicité la plus efficace est celle produite par les consommateurs eux-mêmes. Et c’est pourquoi, si vous le voulez bien, j’apprécierais votre contribution à cette mission.
C’est grâce à votre engagement, à tout ce que vous ferez pour m’apporter votre soutien que Karine gagnera en crédit et que j’aurai davantage de chance de faire éditer le second tome. Je ne cherche pas le prix Goncourt ou l’interview par Ruquier dans ONPC… mon unique but est de pouvoir poursuivre cette œuvre jusqu’à son terme, pour ceux et celles qui ont aimé ce premier volume et attendent beaucoup de la suite.
En caricaturant et en dramatisant un peu le message : vous êtes mon seul espoir !

Concrètement, comment faire pour aider ?
Pour commencer, le plus simple et le plus rapide : il faudrait que vous parliez du livre à vos proches, votre famille — oui, OK, la famille, ça peut être légèrement délicat. À vous de voir ! Communiquez l’adresse de mon site, partagez et likez ma page et mes posts Facebook. Prêtez votre bouquin à vos amis s’ils n’ont pas envie de dépenser 15€ et incitez-les à aider et à me suivre sur Facebook et un peu partout. Propagez la bonne parole !
En plus de ça, il faudrait également que vous ajoutiez des étoiles et un avis sur la page Amazon du livre. Les autres boutiques en ligne sont bien aussi, mais c’est définitivement Amazon qui a la plus grande aura et c’est ici que l’impact sera le plus important.
Enfin, pour les plus géniaux d’entre vous, il y a trois sites spécialisés dans les livres, sur lesquels vous pouvez m’apporter de la visibilité via une note et un commentaire :
Merci à tous pour l’aide que vous m’apportez, vous êtes top !